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La chute, le fond, le sens, la finesse, l'intelligence, la beauté en moins !
(ça manquait aussi de blague sur les animaux)
The Handmaid's Tale
The Handmaid's Tale : La Servante écarlate
Dans une dictature où la stérilité a frappé les femmes, ces dernières sont divisées en trois catégories : les Épouses, qui dominent la maison, les Marthas, qui l'entretiennent, et les Servantes, dont le rôle est la reproduction.
| En cours | Américaine, CA, US | 50 minutes |
| Drame, Science-Fiction, Drama, Science-Fiction & Fantastique | Hulu | 2017 |
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3.09 -
Héroïsme
Heroic
Enfermée dans une chambre d'hôpital pour tenir compagnie à Dematthew, dans le coma depuis qu'elle a été blessée, June sombre dans le désespoir et la folie.
Diffusion originale : 17 juillet 2019
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Diffusion française :
17 juillet 2019
Réalisat.eur.rice.s :
Daina Reid
Scénariste.s :
Lynn Renee Maxcy
Guest.s :
Nina Kiri
Tous les avis
| Avis défavorable | Déposé le 14 août 2019 à 15:26 |
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La série a conscience de ses atouts majeurs (sa réalisation et ses interprètes) et s'en contente un peu trop dans cette troisième saison, semblant vouloir délayer ses intrigues au maximum pour tenir sur 13 épisodes. En résulte donc cet énième épisode de torture psychologique de June, cette fois-ci sur le thème de l'enfermement et de l'introspection. Spoiler : tout cela se termine sur un gros plan de June, persuadée qu'elle va faire tomber le système. Le problème, c'est que les épisodes introspectifs ont souvent pour but de nous révéler une nouvelle facette psychologique d'un personnage ou bien de faire le bilan de son évolution. Or, je n'ai rien ressenti de tout ça, si ce n'est un ennui poli et une certaine crispation au trentième gros plan sur le visage d'Elisabeth Moss (trentième pour cet épisode, on doit bien en être au 300ème rien que pour cette saison). Finalement, le seul petit rayon de soleil dans ce bien terne épisode a été la scène avec Serena et l'espoir que la série se recentre sur les enjeux qui mériteraient d'être conclus. |
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| Avis favorable | Déposé le 03 août 2019 à 21:52 |
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Un épisode introspectif, qui étrangement, m'a parlé, que ce soit dans sa mise en scène, très belle, ou même simplement le fait que June soit à bout et non plus excessivement badass. Certes y'a encore quelques petits défauts, mais au moins j'ai été fasciné de voir la série sur un autre terrain, et ça me plaît |
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| Avis neutre | Déposé le 29 juillet 2019 à 03:44 |
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Le vilain petit canard de la saison, comme chaque année désormais Handmaid's Tale nous offre son épisode en huis clos et / ou centré sur un personnage (1x07 sur Luke, 2x11 ou June est coincé dans le manoir et accouche) et malheureusement comme à chaque fois il s'agit du plus faible de la saison, le rythme est trop lent et l'épisode n'a pas grand chose à nous raconter donc on trouve le temps long malheureusement malgrès quelques belles scènes comme la discussion avec le médecin. |
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| Avis favorable | Déposé le 27 juillet 2019 à 10:49 |
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Je vois bien que cette saison ne fait pas l'unanimité mais je trouve que la série est toujours cohérente. Cet épisode est certes une parenthèse, un huis-clos que l'on peut trouver inutile scénaristiquement, mais il est en fait très utile pour l'évolution du personnage de June. Elle vit énormément de hauts et de bas, parce qu'elle est un être humain piégé dans une société monstrueuse. Toute la série, depuis le tout premier épisode, consiste à montrer les déclics (positifs et négatifs) qui font sans cesse basculer June d'un côté ou de l'autre. Sans arrête sur la brêche, essayant de toujours puiser au fond d'elle pour ne jamais perdre espoir malgré un futur incertain et une situation présente insoutenable. Et pourtant, comme le dit Serena, June fait partie des plus solides. Donc oui, l'épisode n'est pas le plus palpitant qui soit, il ne s'y passe pas grand-chose, mais j'aime l'idée de voir June perdre pied, à la limite de la folie. Et j'aime encore plus que son humanité et sa force — les plus difficiles à assumer en ces temps — finissent par gagner car elle choisit de les faire gagner. J'aime ces petits moments qui la font avancer, petit à petit, et parfois à reculons. Ce n'est pas un épisode dingue, mais c'est la preuve que June est un personnage brillamment écrit (et interprété, au passage). PS : Je ne sais pas vraiment pourquoi, mais j'ai failli pleurer à la scène entre Aunt Lydia et Janine. |
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| Avis défavorable | Déposé le 22 juillet 2019 à 16:37 |
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Je n'ai pas du tout adhéré à l'épisode. Il est présenté comme une sorte de moment hors du temps, introspectif pour June, mais je l'ai trouvé d'une longueur et d'une incohérence sans nom. Très franchement, j'ai eu le sentiment de regarder un épisode de Bojack Horseman (et ceux qui ont vu les deux voient très bien celui auquel je fais allusion !) ; la chute brutale en moins. Bref, je me suis ennuyée et je n'attendais qu'une chose : que June pête réellement un câble et qu'on en finisse. |
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réponse
JPhMaxx| Avis neutre | Déposé le 22 juillet 2019 à 10:43 |
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Même si la façon dont June sombre (presque) dans la folie, je n'ai pas été transporté par cet épisode, un peu long et répétitif... |
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Modifier mon avis
Un épisode qui ne m'a pas trop parlé et qui m'a ennuyé.
Clairement l'épisode est loin d'être inutile puisqu'il insiste sur les défauts de June. Problème : elle semble "réparée" à la fin de l'épisode (pour au moins jusqu'à la fin de saison). Or, j'aimais bien l'idée d'une June vraiment antipathique.
C’est, de plus, assez mal écrit. Lent et peu généreux en avancées, avec pas mal de deus ex machina à des timings improbables, comme Jeanine qui interrompt June à un moment critique alors qu’elle ne faisait rien pendant un mois.
La scène avec Serena ne me suffit pas (même si savoir qu’elle a couvert June m’a rassuré sur son développement).
On ne pouvait pas enchaîner les chefs d'oeuvre... allez, passons à la suite.
Très bon épisode que celui-ci pourtant.
Des frissons encore quand j'y repense.